Habitué des petites biographies des ministres lors de leur nomination afin de les resituer dans leur trajectoire personnelle, professionnelle et sociale, il m'a semblé que faire le même travail, mais a posteriori du passage dans les ministères, pouvait révéler aussi son lot de régularités et de schémas de compréhension sur qui sont ceux qui nous gouvernent. Pour cette première partie, je me propose de faire un très court CV des 25 ministres de plein exercice qui ont officié sous la présidence Sarkozy de 2007 à 2012.
Les billets de Joséphine sur Magcentre. 1er mai : « Comm’ sans conscience n’est que ruine de l’âme »
Hier, comme chaque 1er mai, on a eu le droit sur les réseaux à un festival de posts pseudo-cool & bienveillants souhaitant de « bonne fête du travail » à tour de bras et de smiley. Politiques locaux, responsables de chambres consulaires du coin, chargés de communication de ministères et de quelques préfectures – dont celle d’Indre-et-Loire – ont donc tour à tour célébré le travail, le muguet, le bonheur, la chance et… les fleuristes.
Les billets de Joséphine sur Magcentre. Extrême droite à Tours : des condamnations politiques à géométrie variable.
On s’en souvient encore, il y a trois semaines, le groupuscule identitaire Des Tours et Des Lys proposait une conférence à ses militants, entre deux séances d’entraînements à la boxe – forcément française – et de collage de stickers vaguement royalistes dans les beaux quartiers.
Les billets de Joséphine sur Magcentre. Tours : La drôle de solidarité de Thibault Coulon
Peu connu en dehors des milieux catho-tradi tourangeaux, celui que la presse surnomme “Chevalier Thibault” en référence à ses engagements de jeunesse aux côtés de Christine Boutin puis auprès de la Manif pour Tous, nous offrait il y a quelques jours un bien beau message de paix et de concorde sur sa page Facebook.
Les billets de Joséphine sur Magcentre. Réseaux d’influence et politique : l’arbre larichois qui cache la forêt.
Mon billet MagCentre.fr de la semaine sur les drôles de liens entre politiques et groupes d'influence, avec en toile de fond les luttes pour le pouvoir entre les frères ennemis qui se disputent la mairie.
Les billets de Joséphine sur Magcentre : le macronisme contre les élites (sic)
Vous en avez probablement entendu parler : lors d’une réunion de soutien au peuple palestinien organisée à Sciences Po Paris en début de semaine dernière, une étudiante juive aurait été interdite d’entrée dans un amphi car juive.
Les billets de Joséphine sur Magcentre. Procès Augis, président de Tours Métropole : « ça ne vole pas très haut, mais c’est comme ça »
Ne reculant devant aucun sacrifice personnel pour tenir informés les lectrices et lecteurs de Magcentre, je me suis infligé les 3h30 du procès Augis dans l’affaire dite du « je t’emmerde sale portugais », phrase que le président LR de Tours Métropole avait lancé à son vice-président Cédric De Oliveira, non moins LR, à l’issue d’un conseil métropolitain le 4 avril dernier.
Les chroniques judiciaires de Joséphine #10 : best-of du Tribunal de Paris
Mardi 27 février, Tribunal Judiciaire de Paris, porte de Clichy. Au hasard des déambulations dans le gigantesque bâtiment, il sera question d'une escroquerie en bande organisée dont Vinci est victime, d'une mort par overdose, d'un procès en injure publique entre Marine Tondelier et Steeve Brioist, d'une épouse de Djihadiste jugée pour complicité d'entreprise terroriste, de détention d'images pédopornographiques, de petits trafics et de vol à la tire.
Les billets de Joséphine sur Magcentre : Les droites de Tours inventent le naufrage en automobile
A Tours, la droite locale se focalise curieusement sur le stationnement payant, accusé de nuire au petit commerce. Une polémique qui révèle un décalage flagrant entre les discours simplistes des critiques et les enjeux complexes de l’aménagement urbain en centre-ville.
Les billets de Joséphine sur Magcentre. Tours : rien ne va plus dans les oppositions de droite.
MagCentre.fr publie mon billet au sujet de la situation de plus en plus tendue des oppositions de droite à Tours. Les démons de la division de l'ère post-Royer ne sont toujours pas enterrés et, à deux ans des municipales, les ambitions personnelles se bousculent au portillon.