Ce que la Guinguette de Tours sur Loire nous dit des politiques culturelles #1

 Haut lieu des soirées estivales tourangelles, tantôt décriée comme nid à bobos, tantôt comme espace de décadence branchée en plein centre-ville, la Guinguette de Tours sur Loire accumule les rumeurs et fantasmes. Bien plus rares sont les analyses précises sur son fonctionnement et sur le contexte politique, économique et idéologique qui a accompagné son développement. L’objet de la présente série d’articles est donc de tenter d’obtenir une vue d’ensemble sur tous les phénomènes qui se croisent à la Guinguette et qui en ont fait, à son insu, un laboratoire des politiques culturelles libérales, mêlant création et animation, entrepreneuriat et monde associatif, tourisme, commerce, rayonnement et communication, partenariats public-privé et formes hybrides de salariat.

Avertissement : Cet article n’est pas un pamphlet contre la Guinguette, il ne porte pas de jugement moral ou esthétique sur ce qui s’y passe ou les gens qui s’y investissent, il ne réduit pas la Guinguette à une simple entreprise commerciale et ne l’assimile pas à un bar au fonctionnement industriel comme on en retrouve Place Plumereau, il ne réclame pas sa fermeture sans délais ni le marquage au fer rouge de sa clientèle. De fait, les conditions de production des artistes et de travail des salariés y sont en moyenne meilleures que ce que l’ont peut observer dans le milieu. Pour autant, la mise en évidence de certains phénomènes et leur évolution est légitime et doit permettre au lecteur de se pencher sur ce que sont les politiques culturelles actuelles.

Acte I : Le Festival Tours sur Loire et sa Guinguette

L’organisation du Festival

C’est en 2004, sous Jean Germain, qu’a germé l’idée d’un festival pour valoriser les bords du fleuve en centre-ville, un peu sur le modèle de Paris Plages, crée en 2002. A l’été 2005, pendant deux mois et avec un budget municipal de 50.000 euros, un festival qui mêle projections de films, concerts, théâtre, guinguette d’antan et animations interactives est organisé. Très vite, le succès de l’opération, soutenue par une presse dithyrambique et par un pouvoir municipal en quête de développement touristique et d’amitiés dans les milieux artistiques, va faire grossir le festival. La période d’ouverture va ainsi passer progressivement de deux mois à quatre mois actuellement, l’espace concerné a plus que triplé, le budget a été multiplié par quatre.

A partir de 2009, le fonctionnement qui a été trouvé au fil des éditions est formalisé par un appel d’offres de la Ville de Tours. Celle-ci choisit ainsi parmi plusieurs concurrents les opérateurs qui pourront organiser, avec de l’argent public, le festival pour une période de trois ans, quatre ans depuis l’appel d’offres de 2016. Le marché public est assez original car il est décomposé en deux sphères – nous prendrons ici les chiffres du tout dernier appel d’offres – : d’une part l’organisation par une association d’animations et d’un vaste espace scénique pour un montant de 225.000 euros, d’autre part une convention d’occupation du domaine public le long de la Loire entre la Fac des Tanneurs et la Bibliothèque Municipale, pour l’installation d’un espace bar/restaurant. Il est fait appel à une société privée qui devra financer le montage-démontage des bâtiments temporaires et verser une redevance à la Ville – environ 5% du chiffre d’affaires soit 60.000 euros en 2017 selon les projections – . Cette société pourra se rémunérer par les ventes de boissons et de repas.

Côté Mairie, il faut rajouter 25.000 euros de budget de communication et 35.000 euros pour l’aménagement du site (voirie, connexion aux réseaux, mise aux normes) mais on doit retrancher 80.000 euros d’aides de la part de l’Agglomération et les 60.000 euros de la redevance payée par le bar. L’opération coûte donc en réalité pour la Ville 145.000 euros, somme modeste quand on la compare à d’autres opérations culturelles comme les illuminations de la Cathédrale ou les festivités des 1700 ans de la naissance de St Martin l’an passé.

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Côté opérateurs, c’est le binôme Le Petit Monde et Kwamti, présent dès la première édition de 2005 qui a remporté le double appel d’offres de 2009 et tous les suivants, mettant en avant l’expertise, le matériel, les contacts, le savoir-faire et les compétences nécessaires à la conduite de ce projet d’ampleur.

Présentées ainsi, à la manière du site Internet du Petit Monde, les choses ont l’air d’aller de soi, mais c’est oublier que lors des premières éditions, La Compagnie Ex-Nihilo (arts de rue et théâtre) participait au volet artistique de la programmation avant d’en sortir en 2007 à cause de tensions internes, les désaccords portant essentiellement sur l’ambiguïté entre la dimension commerciale et artistique du projet et sur l’utilisation d’une partie des bénéfices du bar pour financer des actions de création, chose qui ne se réalisera finalement jamais.

A noter que lors du dernier appel d’offres, deux autres candidatures ont été présentées, liées pour l’une au patron des Trois Orfèvres et pour l’autre au gérant des Trois Rois. Elles n’ont pas été retenues par la municipalité.

L’association Le Petit Monde

Le Petit Monde est une association à but non-lucratif créee en 2001 par Ronan Briant et Jonathan Odet, spécialisée dans les « spectacles éphémères dans des lieux insolites ». L’asso qui a commencé par une festival dans le parc de la Gloriette noue rapidement un destin commun avec la Loire : elle organisait dès 2003 des performances sous le pont Wilson et a vu son activité croître rapidement avec la Guinguette. Le Petit Monde est devenu une association qui compte : il bénéficie d’un espace au 37ème Parallèle, infrastructure financée par l’Agglo et dédiée à la création et à l’accueil d’artistes en répétition, ce qui cause d’ailleurs des tensions avec d’autres compagnies résidentes qui regrettent que le stockage de matériel prenne le pas sur la création ; elle est subventionnée par la Ville de Tours à hauteur de 5000 euros pour son fonctionnement – ce qui est très faible, soit dit en passant – ; elle se projette à l’international en prenant appui sur le réseau des alliances françaises et des partenariats inter-gouvernementaux, par exemple au Laos et en Equateur où des projets similaires à Tours sur Loire ont été développés localement ; elle propose à des collectivités son expertise dans la scénographie des sites naturels, l’installation de lieux de vie culturels, l’organisation d’événements artistiques et touristiques, le conseil artistique et la programmation, le conseil en ingénierie culturelle et la location de matériel mobile. L’ensemble de ces casquettes a permis à l’asso de s’investir dans une trentaine de projets sur toute la France et à l’étranger depuis 10 ans, tout en nouant de nombreux partenariats institutionnels.

Le Petit Monde emploie désormais cinq salariés fixes, encadre une personne en Service Civique financés par l’Etat et accueille des stagiaires des Masters Culture et Médiation des Arts du Spectacle de l’Université François Rabelais. Le profil-type des personnes qui font tourner l’asso au quotidien est assez typique de ce genre de structure : principalement des femmes de moins de 35 ans, fortement diplômées et aux revenus faibles, si on les rapporte à leur qualification. Nous reviendrons plus tard là-dessus.

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La SARL Kwamti

De son côté, Kwamti est une Société à Responsabilité Limitée (SARL) spécialisée dans le débit de boissons et créée également par Ronan Briant et Jonathan Odet. C’est cette société qui gère le bar de la Guinguette – la partie restaurant étant déléguée à un autre prestataire – et qui a déclaré l’an dernier 1,1 millions d’euros de Chiffre d’Affaires pour seulement 1600 euros de bénéfice, le chiffre lié aux activités de Tours sur Loire tournant autour de 850.000 euros. Kwamti emploie une trentaine de serveurs saisonniers travaillant 35 heures/semaine et payés 1200 euros par mois (1500 pour les chefs de bar plus expérimentés) auxquels il faut ajouter des heures supplémentaires comptabilisées avec précision, les pourboires et les primes versées lorsque les résultats sont bons. L’enquête fait apparaître que les salariés sont globalement satisfaits des conditions de travail et de l’ambiance ainsi que de l’encadrement qui veille à prendre en compte les contraintes individuelles. Par ailleurs, plusieurs serveurs ayant déjà travaillé dans la restauration reconnaissent à Kwamti l’application du droit de travail, chose suffisamment rare dans ce milieu pour le noter. Il est vrai cependant que des contrôles particulièrement fréquents de l’URSSAF et l’attention portée par le pouvoir politique à la gestion de la Guinguette depuis quelques années a pu encourager les bonnes pratiques.

Kwamti met en avant une charte de bonne conduite dans ses pratiques sociales, encadrant les salaires de la direction qui ne doivent pas, en principe, dépasser le triple des salaires des serveurs – soit environ 3500 euros/mois – et déterminant les affectations des bénéfices (33% pour les actionnaires non salariés, 33% en prime pour les salariés, 33% pour l’investissement). Cette belle transparence affichée ne doit pas faire oublier – de l’aveu même des patrons de bar que nous avons consulté – qu’il est habituel dans ce milieu qu’une part du chiffre peut être réalisée au noir, en liquide. Cependant, aucun serveur interrogé n’a pu témoigner d’une pratique d’ampleur allant dans ce sens et l’appel d’offres de 2016 stipulait l’obligation de posséder des caisses enregistreuses et des appareils à carte bleue qui permettent de limiter la circulation de cash non tracé, peut-être pour faire taire les rumeurs récurrentes à ce sujet depuis des années. Nos indiscrétions auprès du fournisseur de la Guinguette, le distributeur Figuereido, confirment globalement les chiffres avancés par les comptes de Kwamti.

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Ce capitalisme vertueux trouve peut-être des limites par exemple lorsque Jonathan Odet livre dans une interview récente que le coût très élevé de l’entreposage du matériel de Kwamti pendant la saison creuse (bâtiments démontables, bois, structures métalliques, matériel de bar…) réduit largement la rentabilité de l’affaire, avec des dizaines de milliers d’euros dédiés à ce poste de dépense. Pourtant, il semble que Ronan Brient et Jonathan Odet possèdent eux-mêmes l’entrepôt utilisé par Kwamti via une de leurs Société Civile Immobilière (SCI), Kaizen ou Monts Kaizen, et que l’argent qui sort d’un côté rentre de l’autre. Rien d’illégal là-dedans, mais peut-être un bon moyen de garder les bénéfices de Kwamti à un niveau faible, chose toujours utile pour la communication de l’entreprise, pour négocier des taux de redevance avantageux lors des appels d’offre ou contourner la charte interne de Kwamti sur les plus hautes rémunérations.

Des affaires qui se diversifient

Les affaires du tandem Brient-Odet ont considérablement gonflé à partir de ce pôle constitué par Kwamti : deux SCI, donc ; Ronan Brient est aussi gérant d’OPS, une société de conseil en relations publiques capitalisée à hauteur de 50.000 euros ; ils ont fondé une boîte avec des associés thaïlandais – la Little World Company Limitated – qui gère un ensemble bungalows sur pilotis, restaurant, école de cuisine et de yoga, le Blue Lagoon, dont s’occupe le père de Jonathan Odet, et quatre parcs de parcours forestiers d’acrobranche, (Koh Chang, Krabi, Kanchanaburi et Chiang Ra) ; ils se sont associés avec la grosse boîte de production audiovisuelle parisienne Pourquoi Pas La Lune de Stéphane Meunier, Jérôme Caza et François Pêcheux pour fonder Petite Lune, société qui gère la Guinguette de la Javelle, située dans le très huppé quinzième arrondissement et la Guinguette la Belle du Gabut à la Rochelle, déclenchant d’ailleurs des tensions avec les bistrotiers du coin mécontents de ne pas avoir été choisis par leur municipalité pour le projet ; quelques proches comme Antoine Braud ou Antoine Moirin sont liés à ces sociétés ou en ont a leur nom, comme par exemple la société Eclipse, spécialisée dans l’organisation de foires, domiciliée au 59 rue Jules Charpentier, siège social de Kwamti, Le Petit Monde, OPS et Monts Kaizen.

Rien de répréhensible ou d’immoral dans tout cela, mais force est de constater que MM Odet et Brient ont la bosse des affaires et ont changé d’échelle depuis l’époque des nuits blanches dans les bois de la Gloriette. Il faut préciser ici pour éviter les fantasmes que leurs installations thaïlandaises sont assez modestes, jouant la carte du tourisme responsable et éthique mettant en avant le respect de la nature et la proximité avec les populations locales, il est nulle question ici de palaces ou de parcs d’attraction à l’occidentale. Cependant, la généralisation et la transposition du modèle de la Guinguette de Tours sur Loire dans d’autres villes et l’association avec des hommes d’affaires disposant d’un capital important et de connexions médiatiques montre tout de même une véritable stratégie de développement ambitieuse, à mettre en regard de la communication des deux hommes.

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Petite Lune, la locomotive

Les affaires sont d’ailleurs florissantes pour Petite Lune qui cherche à transposer son concept dans différentes villes, joignant le volet culturel à un modèle économique et urbanistique qui séduit nombre de municipalités, rassurées par l’expertise affichée, appréciant de pouvoir juger des résultats sur pièce à travers l’exemple de Tours et grisées par les vidéos promotionnelles qui mettent en scène l’espace idyllique de la Guinguette du quai de la Javelle, vidéos réalisées par les associés parisiens dont l’activité d’origine est la production de documentaires.

C’est la ville de La Rochelle qui va offrir un joli terrain de jeu à nos entrepreneurs de la guinche. La municipalité cherchait en effet depuis 2015 à réhabiliter une friche industrielle, le Gabut, qui donne sur le port et qui représente un énorme espace à valoriser en plein centre. Le dispositif rappelle furieusement celui de Tours : une com’ qui évoque une espace à « redécouvrir », à « reconquérir » et à « réinventer » – même si les riverains ne sont pas favorables à une Guinguette- ; la volonté d’une programmation culturelle « transversale et participative » doublée d’un vœu-pieu de « mixité » grâce à une large gratuité de l’espace ; une volonté de développer le « facteur économique, patrimonial et touristique » du projet ; l’idée d’un hôtel de luxe – aujourd’hui abandonnée – à proximité ; la mobilisation de partenaires associatifs locaux (Ophidie Circus) et régionaux (Centre National des Arts de la Rue) ; la participation de la Ville via sa structure Le Carré Amelot – ancienne association dont les subventions et la gestion avaient fait couler beaucoup d’encre avant absorption par la Direction des Affaires Culturelles de La Rochelle – .

Dans ce cadre, Petite Lune semble le partenaire idéal grâce à son savoir-faire, sachant que le financement et l’organisation de la programmation culturelle était déjà bien avancée grâce aux multiples partenariats.

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Fin 2016, la Mairie organise tout de même un appel à projets pour formaliser la présence sur la friche d’un bar-restaurant qui aura également la charge d’aménager des constructions éphémères, d’organiser des concerts – avec billetterie possible – et de suivre les partenariats avec les acteurs locaux déjà sur les rails afin de proposer une véritable saison culturelle.

En janvier 2017, les projets qui se sont portés volontaires sont auditionnés par une commission composée d’élus et de hauts fonctionnaires municipaux. Certaines équipes sont surprises de constater qu’aucune question ne leur est posée et que l’entretien, très vague, se termine bien rapidement. Elles recevront plus tard un coup de fil officieux leur annonçant leur échec. Puis plus rien, aucun document officiel, aucune explication concrète, ni même la possibilité de consulter la convention d’occupation du domaine public par Petite Lune. Des concurrents saisissent alors le tribunal administratif, considérant que les conditions d’organisation et d’attribution de l’appel à projets par la Mairie a été irrégulier. Ce n’est que mi-mai, avec trois mois de retard que la Marie, gênée par la présence d’un huissier, produit un document à la va-vite contractualisant la présence de Petite Lune. Pourtant, un document de communication diffusé par la Mairie en février et donc très probablement réalisé en janvier, soit exactement pendant les auditions, faisait déjà mention de « société de production expérimentée, formée au montage de lieux éphémères et de lieux de vie, qui vient accompagner les équipes rochelaises qui feront vivre le lieu au quotidien. ». Insoutenable suspens en effet.

Des journalistes locaux se saisissent du dossier pour en dénoncer l’opacité puis se rendent compte que la Mairie prête la friche à titre gracieux à Petite Lune. Face à la grogne qui monte chez les commerçants locaux mis de côté, la municipalité annonce finalement qu’une redevance sera demandée, à hauteur de 4500 euros.

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Depuis mai, le lieu est donc en exploitation, avec une programmation du mercredi au dimanche mêlant DJ’s, interventions d’associations sportives, actions gratuites d’associations subventionnées par la mairie, projets de plus grande ampleur portés par le CNAR et le Carré Amelot, soirée d’écoles de danse, projections de documentaires, accueil de certaines actions de Festivals environnants, dont les Francofolies… Preuve de l’ampleur de l’effort de la Mairie, le budget prévisionnel de 2017 synthétise l’ensemble des sommes allouées à des structures qui participent aux animations valorisant la friche du Gabut : pas moins de 400.000 euros. Il semble donc que tout concourrait à espérer un joli succès populaire du lieu et donc son intérêt économique.

Selon nos informations, le Chiffre d’Affaires projeté par certains concurrents lors de « l’appel d’offres » avoisinait les 600.000 euros, l’investissement purement artistique étant de 40.000 euros, amorti par les ventes de billets d’entrées. Le bénéfice espéré au final atteignait, du reste, les 40.000 euros. Nous n’avons pas eu accès à la comptabilité de Petite Lune pour ses activités rochelaises, mais des sources proches du dossier parlent d’un chiffre de l’ordre du million d’euros.

Concrètement, à notre connaissance, pour les manifestations directement organisées par Petite Lune, plusieurs artistes ont été payés au noir. A noter que la proportion de tourangeaux était tout à fait étonnante, par exemple avec la programmation du Muscle en juillet, compagnie qui partage les locaux du…Petit Monde à Tours. Le monde est petit, en effet.

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Illustrations d’Aurélia B. & Juliane M. – 2017

 

3 commentaires sur “Ce que la Guinguette de Tours sur Loire nous dit des politiques culturelles #1

  1. Rochelaise, je boycotte ce lieu où les mineurs s’alcoolisent librement, où toutes les règles que doivent respecter les cafetiers ne s’appliquent pas, où on fait comme si les riverains n’existaient pas. Le « marché » a été attribué de façon plus que louche, le loyer est ridicule par rapport au C.A., et rectificatif sur les jours et heures d’animation : c’est 7 jours sur 7 pendant 6 mois, de midi à minuit. La musique est même mise pour la mise en place et le remballage. Et pour finir, on oblige les associations à y aller, sous peine de ne pas accepter les animations qu’elles proposent. Voilà le constat.

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